La Grèce doit retirer la mesure sur le dépistage obligatoire du VIH et mettre un terme au harcèlement des femmes transgenres

La réintroduction par le ministre grec de la Santé de la réglementation sur la transmission des maladies infectieuses expose les groupes vulnérables, notamment les travailleurs du sexe, les personnes séropositives aux VIH et les consommateurs de drogues injectables, à une discrimination et une stigmatisation accrues. Amnesty International demande aux autorités grecques d’abroger immédiatement la mesure et de mettre un terme à ces pratiques discriminatoires, qui sont contraires aux obligations européennes et internationales en matière de droits humains.

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