Le 26 février, Amnesty International publie un rapport sur la Côte d’Ivoire, qui présente en détail les graves violations des droits humains commises par l’armée nationale et la police militaire, notamment les exécutions extrajudiciaires, les arrestations pour des motifs politiques, les actes de torture et les détentions au secret, dont sont victimes les partisans déclarés ou présumés de l’ancien président Laurent Gbabgo.