Onze manifestants, arrêtés car soupçonnés d’avoir commis de graves infractions le 20 novembre dernier à Mexico, risquent de faire l’objet d’un procès inique. Tous ont signalé avoir subi des mauvais traitements et ont été transférés vers des prisons de haute sécurité éloignées, ce qui limite les contacts avec leurs avocats et leurs proches.