Amnesty International craint que les personnes nommées ci-dessus et au moins huit autres ne soient très prochainement exécutées. Cette crainte est renforcée par le fait qu’au moins cinquante personnes reconnues coupables d’infractions à la législation sur les stupéfiants ont déjà été exécutées cette semaine pour marquer le 26 juin, décrété par les Nations unies Journée internationale contre l’abus et le trafic illicite des drogues.