Cinq demandeurs d’asile syriens incarcérés au centre de détention de l’île de Manus, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, risquent d’être renvoyés dans leur pays, où leur vie ou leurs libertés seraient en danger. En raison de l’instabilité et des violations des droits humains qui perdurent en Syrie, tous les Syriens ont droit, en principe, à une protection internationale.