Malte. Les expulsions collectives, les renvois forcés et le non-respect du principe de non-refoulement ne doivent jamais être considérés comme des solutions

Amnesty International est préoccupée par les déclarations du Premier ministre de Malte entre le 4 et le 9 juillet 2013, indiquant que le pays pourrait procéder au refoulement de bateaux transportant des étrangers et à des expulsions collectives de personnes se trouvant déjà sur le territoire maltais. Mardi 9 juillet, le gouvernement a fait savoir qu’il étudiait « toutes les solutions » pour faire face à l’afflux récent d’étrangers sur l’île.

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