Andreï Poczobout a été libéré sous caution le 30 juin au Bélarus. Cependant, il risque une nouvelle peine de prison de près de huit ans pour « diffamation à l’égard du Président ». Il est visé en raison de son travail en tant que journaliste et car il exerce de façon légitime son droit à la liberté d’expression.