Géorgie. La chambre de contrôle géorgienne doit respecter les droits humains dans le cadre de l’enquête en cours sur les financements politiques

Amnesty International déplore que les sessions de questions auxquelles ont été soumis de nombreux membres et sympathisants de partis d’opposition à travers la Géorgie au cours de la semaine du 12 mars se soient accompagnées d’atteintes présumées aux garanties juridiques et de manœuvres d’intimidation visant les partisans de l’opposition.

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