Le 23 mars, un tribunal a ordonné la libération sous caution d’Alaa Abdel Fattah et d’Ahmed Abdel Rahman. Ces deux hommes vont néanmoins comparaître en justice avec 23 autres personnes pour avoir enfreint une loi répressive relative aux manifestations. La prochaine audience aura lieu le 6 avril. S’ils sont déclarés coupables, ces hommes encourent jusqu’à cinq ans d’emprisonnement.