Les droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique ont été fortement restreints, en particulier pendant la période électorale. Principales victimes de la répression massive de la dissidence, des membres de l’opposition et des personnes qui y étaient associées ont été détenus arbitrairement et poursuivis. De nouvelles dispositions législatives ont renforcé encore davantage les restrictions et lourdes peines imposées aux militant·e·s et aux personnes critiques à l’égard des autorités. Des agents de l’État en civil ont enlevé et torturé des militants politiques et ont tué l’un d’entre eux. Au moins un militant aurait été tué par des sympathisants du parti au pouvoir. Les autorités ont pris des mesures pour endiguer la propagation d’une épidémie de choléra qui a fait au moins 100 morts et touché des milliers d’autres personnes. Des femmes et des filles ont été privées de leur droit à la santé sexuelle et reproductive. Une nouvelle loi a contribué dans une certaine mesure à satisfaire le besoin de protection des enfants.
Lire la suiteLa peine de mort est inscrite dans la législation
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