La crise politique que traversait le pays a été marquée par de graves violations des droits humains : des opposant·e·s politiques ont notamment été déchus de leur nationalité et des défenseur·e·s des droits humains, des autorités religieuses et des personnalités autochtones ont fait l’objet d’arrestations et de détentions arbitraires. L’Église catholique a été touchée par des violations de la liberté de religion, et des ONG ont encore été fermées. L’impunité pour les crimes contre l’humanité restait la règle. Des populations autochtones ont continué d’être persécutées et ont été la cible d’attaques meurtrières perpétrées par des groupes armés.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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